And as I was saying a couple of weeks ago, here we go again for another object bringing back some memories… Because this month, for the Picture of the month, J’adore, j’adhère chose “What’s your Proust’s Madeleine?”, a theme I covered already last month for Marie’s Photo-therapy project.
Comme je le disais il y a deux semaines, nous revoilà pour un objet qui ravive des souvenirs… Parce que ce mois-ci, pour la photo du mois, J’adore, j’adhère a choisi “Quelle est votre madeleine de Proust?” pour la photo du mois, thème déjà traité le mois dernier pour le projet Photo-thérapie de Marie.
Little known fact: I am a boy scout. I was active during all my teenage years, going as far as being a troop leader, with the French official certifications that would allow me to legally be in charge of a group of teenage boys camping for more than a week. Above, my swiss army knife. The one and only, given to me as a gift by my grandmother when I joined the Boy Scouts. In front of it, the insigna I received when I took the Scouts’ Oath, during my first summer camp, in Portugal. I was barely twelve, and on the first day of the camp, the bus had dropped us 10 kilometres away from the campsite, because it couldn’t go further on the dirt roads in the mountain. We all split the equipment, and set out to walk in the mountains under the blazing afternoon sun. I have always been on the tiny side of the scale. And my backpack for three weeks, plus the parts of our tent that I had to carry, gave me the impression that I was carrying almost half my weight there.
Fait peu connu: je suis un scout. J’étais actif pendant mon adolescence, au point d’être devenu chef de troupe, avec les diplômes français me permettant légalement d’emmener camper un groupe d’ados pour plus d’une semaine. Ci-dessus, mon couteau suisse. Le seul, l’unique, cadeau de ma grand-mère quand j’ai rejoint les scouts. Devant, l’insigne de ma Promesse, faite pendant mon premier camp, au Portugal. J’avais à peine douze ans, et le premier jour du camp, le bus a dû nous déposer à 10km du lieu de camp, faute de route praticable dans la montagne. On s’est réparti le matériel, et on s’est mis en marche dans les montagnes sous un soleil de plomb en plein après-midi. J’ai toujours été du côté freluquet de la courbe de croissance. Et mon sac à dos pour trois semaine, avec en plus les morceaux de la tente que j’avais à porter, m’ont donné l’impression de porter au moins la moitié de mon poids.
It was hard. Painful. I was panting and sweating, and panting. And sweating. I thought I would never manage. But every time the big chiefs would drive by (they had one car that they were using to pick up the really heavy stuff, and to pick up the most tired ones, working their way up from the bottom of the convoy), I would gather whatever strength I had left in me to stand up straight, muster a small smile and wave at them. Later on, during a debriefing session with one of the chiefs, I was told that the staff had been amazed by my resilience. Because when they were driving by, everybody was tired and sweating, and panting. Except me. Or so it appeared, to them. That summer, I learned to always face hardship with a smile. That a smile or a joke or a laugh was sometimes all it took to hide your pain and suffering from others…
C’était dur. Douloureux. Je haletais et suais, et haletais. Et suais. Je croyais ne jamais pouvoir y arriver. Mais à chaque fois que les grands chefs passaient en voiture (ils avaient une voiture et s’en servaient pour faire des Norias avec le matériel le plus lourd, et aussi pour récupérer les plus fatigués, en partant de la queue du peloton), je rassemblais le peu de forces qu’il me restait pour me redresser, arracher un faible sourire et leur faire coucou. Plus tard, lors d’un debriefing avec un des chefs, on m’a dit que les chefs avaient été impressionnés par ma persévérance. Parce que chaque fois qu’ils passaient en voiture, tout le monde était crevé et en sueur, et haletant. Sauf moi. Enfin c’est ce qui leur avait semblé. Cet été, j’ai appris à toujours faire face à la difficulté avec le sourire. Qu’un sourire ou une plaisanterie ou un rire c’est parfois tout ce dont on a besoin pour cacher aux autres sa souffrance…
Now, let’s see what brings back memories to the others this month:
Maintenant, allons voir ce qui rappelle des souvenirs aux autres ce mois-ci:
Welcome to the following new members / Bienvenue aux nouveaux arrivants:
A chaque jour sa photo, A’icha, Agathe, Agnès, Akaieric, Alban, Alexinparis, Alice Wonderland, Angélique, Anne, Arwen, Aude, AurélieM, Ava, Bestofava, BiGBuGS, Blogoth67, Calamonique, Cara, Cécile – Une quadra, Cécile Atch’oum, Cekoline, Céline in Paris, CetO, Champagne, Chat bleu, Chloé, Christophe, Claire, Claire’s Blog, Crearine, Cricriyom from Paris, Cynthia, Dame Skarlette, DelphineF, Dr. CaSo, E, El Padawan, Elodie, Elsa, Eurydice, Fanfan Raccoon, Filamots, FloRie, François le Niçois, Frédéric, Galinette, Gilsoub, Giselle 43, Gizeh, Guillaume, hibiscus, Homeos-tasie, Hypeandcie, InGrenoble, Isa de fromSide2Side, Isaquarel, J’adore j’adhère, Joane, Josiane, Kantu, KK-huète En Bretannie, Krn, La Berlinoise, La Dum, La Fille de l’Air, La Nantaise à Paris, Lau* des montagnes, Laulinea, Laurent Nicolas, Lavandine, Lavandine83, Les bonheurs d’Anne & Alex, Lucile et Rod, Lyonelk, magda627, Mahlyn, Mamysoren, Maria Graphia, Marie, Marmotte, MauriceMonAmour, Mère débordée, Mimireliton, MissCarole, Morgane Byloos Photography, Nana, Nicky, Nie, Oscara, Philae, Pica Moye, Pilisi, Pixeline, princesse Emalia, Proserpinne, Renepaulhenry, Rythme Indigo, Sailortoshyo, Sephiraph, Stephane08, Sylvie, Tataflo, Testinaute, Thalie, The Parisienne, The Singapore Miminews, Ti’ Piment, Trousse cadette, Tuxana, Un jour, une vie, Une niçoise, Vanilla, Viviane, Woocares, Xoliv’.
There was a cyclist, was it Eddi Merckx? who often looked like he was smiling when he was hurting worst, I remember seeing a photo of him in a race a million years ago, and being so impressed by this….I try to smile as the neutral expression on my face, and when I’m working hard on the bike or running…a smile….still gets your mouth open to let in the much needed air!!!
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Wow. Being compared to Eddi Merckx? Quite the honour you’re making me here :). Problem with the smile on the bike is that the air/bugs ratio might not be perfect…
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Une très beau souvenir que tu racontes avec ce couteau suisse et ton passage chez les scouts. Je connais mon frère y a été également en Belgique. Je n’ai pas voulu, j’étais trop timide 🙂
Une belle photo et merci pour ce beau témoignage d’aller en effet toujours de l’avant. Comme je comprends.
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Tu crois qu’à 10 ans je n’étais pas timide? :). J’y suis allé “pour voir”, et parce que mon grand frère y allait avec un de ses copains. Et au final, j’y suis resté 😉
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Oui, je comprends. J’aurais dû avoir une amie pour m’entraîner, comme celle que j’ai été voir là avant-hier et hier, et qui, a 18 ans m’a emmenée dans les circuits ADEPS en Belgique ainsi dénommé pour suivre un stage de vélos et de circuits pédestres et également déjà de laboratoire de photographie, au développement en noir et blanc. J’ai adoré le tout, et n’y ai été qu’une seule et unique fois. C’est dommage.
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Il n’est jamais trop tard pour s’y remettre… Allez, en selle!
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Allez hop :
Exercice numéro 1 :
Monter et descendre les escaliers au lieu de prendre l’ascenseur 🙂
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Et bien, quelle madeleine!!! 😀 bravo en tout cas. Peut être cette photo aurait elle gagnée en force avec une mise au point sur l’insigne de la promesse plutôt que sur le mot “camping” (il me semble bien que c’est comme cela.) En tout cas, c’est un bon choix pour le N&B.
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Je voulais faire la MAP sur l’insigne, justement. Et dans le viseur, c’est ce que ça disait… Mais à f/1.8 et distance minimale, peut-être que ça a dévié un peu…
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j’ai été scout aussi (guide pour les filles) j’en ai de très bon souvenirs!
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Je connais les guides ;). Je ne dis pas que j’ai de mauvais souvenirs des scouts, attentions. J’en ai aussi des bons 😉
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Une belle histoire et une belle leçon de courage !
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leçon, je ne sais pas. À 11 ans, on ne donne pas beaucoup de leçons…
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Très chouette histoire 🙂 Je suis un peu comme toi: quand j’étais enfant, souvent à l’hôpital, ma famille savait que j’allais mieux quand je commençais à raler et me plaindre de tout, et ne se faisait du souci pour moi que quand je commençais à sourire et faire des blagues… parce qu’ils savaient que je ne faisais ça que quand ça n’allait pas bien du tout.
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“Qu’est-ce que t’as aujourd’hui ma chérie? On t’a pas encore entendu chiauler de toute la journée. Tout va bien?” J’imagine très bien 🙂
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Mon frère avait lui aussi son couteaux suisse offert pas notre père, et il me semble que désormais c’est mon neveu qui le possède.
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J’espère que ton neveu a donné une pièce à ton frère en recevant le couteau, comme le veut la tradition 🙂
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Belle photo, et joli souvenir ! Je n’étais pas scout, mais je faisais un camp chaque été pendant lequel on faisait une longue randonnée de deux jours, sac au dos. Il y a des fois où j’ai cru mourir d’épuisement… mais c’était des moments incroyables !
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Pendant le camp, on avait deux grosses randonnées. Une en “patrouilles” (par équipes), 3 jours, et une en “individuel” (seul pour les plus âgés, à deux pour les plus jeunes) de 2 jours… Quand on ne fait un sac que pour 2-3 jours, c’est plus léger que le sac pour 3 semaines 🙂
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Jolie photo accompagnée d’une belle leçon de courage!
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Merci 🙂
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joli piqué que cette photo , belle couleur et objet quasi intemporel c’est sur.
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Belle couleur? Surprenant, pour un Noir et Blanc 😀
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Quelle belle histoire très émouvante et touchante…
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Merci 🙂
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Jolie photo et belle histoire!
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Merci 🙂
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jolie madeleine !!! la photo est superbe !
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Elle ne se mange pas, celle-là, par contre…
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Un couteau Suisse… j’en ai eu un moi aussi mais je l’ai perdu lors d’un déménagement.
A bientôt
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J’ai un autre couteau qui a été perdu lors de mon déménagement de Paris à Toronto. Dommage…
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une sacrée belle madeleine, ma foi on dit jamais deux sans trois, cela vaudrait la peine pour te dévoiler une troisième fois 😉
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merci mais non merci…
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partant pour refaire la même chose avec 50 kilos de madeleines cette fois-ci ?
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au moins, ça se mange les madeleines, donc au fur et à mesure le sac s’allège…
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Salut le scout!!!
Lorsque j’ai vu ta photo, sans lire le texte, je savais que tu faisais partie de cette association.
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Assez facile à reconnaître, quand même 😉
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Scout toujours? En tout cas ohotographe et conteur de talent 🙂
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On dit “scout toujours” parce que lorsqu’on s’engage lors de la Promesse, c’est pour la vie. Donc même si on ne court plus en short dans les bois, dans la tête, on reste scout. Et c’est pour ça que j’ai parlé d’avoir été “actif” 😉
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c’est amusant le titre me fait penser à un feuilleton que j’aime beaucoup ! Pour répondre à ta question, non je n’y ai pas grandi mais y suis allée souvent petite !
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Un feuilleton? J’aurais dit un film, plutôt… 🙂
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ah ben, ça, c’est du souvenir d’un autre genre ….Peut-être moins agréable que ceux des autres, non?
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Pas forcément agréable, mais comme beaucoup d’autres souvenirs, ça fait partie de ce qui forme un caractère, une personnalité…
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Ahaha, je découvre ce blog avec ces souvenirs de vacances ! Les jolies colonies de vacances !
C’est drôle comme ces moments de scoutisme peuvent forger, influencer le caractère en grandissant.
Cette photo du couteau suisse évoque pour moi, lorsque j’étais petit non seulement un objet beau et sacré, mais aussi une forme de liberté. Celle de créer. Celle de réussir à se fabriquer une cabane, une table, etc. Un simple outil maintenant (lorsqu’on fois les laserman beaucoup plus sophistiqués qu’on peut avoir en grandissant :D), mais surtout tout un symbole.
Symbole du courage qu’on nous enseigne chez les scouts. Marcher avec un gros sac, sous la pluie et apprendre à s’en réjouir !
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Bienvenue ici, alors. Oui, le couteau suisse, c’est la liberté, c’est tout à fait ça 🙂
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Nan mais vous n’êtes plus du tout à la page, aujourd’hui le symbole de la liberté c’est… non allez, je préfère rien dire c’est trop triste 😥 Vivent les couteaux !
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Après, plus efficace que le couteau suisse, y’a le tank. Très pratique pour “libérer” les péninsules…
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L’inconvénient c’est qu’il faut de grandes poches…
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ou alors une base militaire sur place, encore plus simple…
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Tres joli souvenir malgré la douleur !!! 😉
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Merci 🙂
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T’inquiète tu n’est pas le seul, même si moi c’était les éclaireur unioniste de France 😉 une grande famille que le scoutisme 😉
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Je me doute :). Et quelques années plus tard, on est passés SUF, dans ma troupe 🙂
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Très jolie histoire et j’aime beaucoup ta photo 🙂
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Merci :).
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Bravo pour ton courage du haut de tes 12 ans…! Je suis bien sûre que ces années et ce beau couteau te servent encore maintes fois!
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Le couteau me sert moins souvent. Voyageant souvent, je l’ai rarement sur moi dorénavant…
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Je me suis vraiment demandé en quoi un couteau suisse pouvait être une madeleine …. Et j’ai lu ! Chapeau … Pas sûr que de nos jours certains acceptent de faire les efforts que tu as faits ! J’étais scoute aussi mais ce n’était pas ma tasse de thé :
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Ah ben oui, faut lire l’histoire avec 🙂
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Très bien le noir & blanc pour accentuer la nostalgie et belle leçon de vie.
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Merci 🙂
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très belle photo, j’aime beaucoup les couleurs
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Drôle de commentaire pour du noir et blanc, mais merci 🙂
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Belle photo et belle histoire, merci de la partager avec nous
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Et le couteau suisse, pratique pour couper les bugnes à se partager :p.
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Haaaa les scouts, de très bons souvenirs pour moi aussi 🙂
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Sur le principe, il n’y a pas de raisons pour qu’il en soit autrement pour n’importe quel scout ou guide… Après tout, le mouvement prône la tolérance, la débrouillardise, l’entraide et l’amour de la Nature. Donc en théorie, ça devrait faire de très bons souvenirs pour à peu près tout le monde :). (Mais bon, c’est la théorie…)
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J’aime autant la photo que l’explication qui va avec, une belle tranche d’enfance.
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Merci :). Pas le temps de buller, à ce moment-là 😉
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Idem, j’aime la photo, et cet instantanné d’enfance
Les mouvements de jeunesse offrent bien des leçons de vie 🙂
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Oui, même si parfois, la leçon est indirecte…
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Kikou Fify, je prends enfin le temps de venir commenter. J’apprends que tu as fait les scouts, c’est chouette, je ne sais pas si j’idéalise la chose, mais quand je pense à eux, j’imagine toujours des gars et des nanas débrouillards qui en grandissant, ont retenu les bonnes valeurs apprises. Te connaissant, on va dire que j’idéalise peut-être pas trop. 😀
L’anecdote est jolie, mais il faut aussi se laisser le droit de montrer que ça va pas, sinon, les potes pourront jamais te donner un p’tit coup de pieds aux fesses en cas de besoin *mon pied aime bien se dévouer, tu le sais voyons* lol Bisous 😉
Ps: je vais rajouter ton article à la récap’ !
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Sisi, tu idéalises. Il y a de tout, partout, et il y a aussi des aspects plus négatifs que ce à quoi tu t’imagines… J’ai eu des expériences pas forcément joyeuses, en plus de 10 ans…
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Scout un jour, scout toujours! C’est chouette! J’aurais bien aimé être scout, mais je crois que mes parents m’auraient crue encore plus insensée que je ne l’étais si je leur en avais parlé! Surtout au vu de la manière dont tu en parles 😉 Il faut avoir une sacrée résistance!
Pas grave, je faisais des cabanes avec mes cousins et lisais les astuces des Castor Junior 😉
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Cabanes et astuces des Castors Juniors? Ouais, c’est à peu près ça 🙂
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Oh elle est vraiment trop mignonne ton histoire ! Je ne connaissais pas tes talents d’écriture en plus !
Je n’y ai jamais pensé, mais je suis sûre que j’aurai aimé être scoot ! Je faisais des cabanes dans mon jardin 😀
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